1. Consulter un dentiste au moins une fois par an

Il ne faut pas attendre que vous ayez mal aux dents pour aller chez un dentiste. Comme on aime si bien le dire, il vaut mieux prévenir que guérir. Même si vous n’avez aucune douleur aux dents, prenez toujours l’habitude de voir un dentiste au moins une fois par an. Pour les enfants, le mieux est de faire un contrôle au moins 2 fois par an. Sachez que les consultations préventives aident à éviter toutes formes de complications.

2. Se brosser les dents de manière régulière

Le brossage des dents fait partie de l’hygiène de vie que tout le monde doit adopter. Selon les spécialistes, il faut au minimum 2 minutes pour nettoyer efficacement la cavité buccale. Si vous voulez avoir une santé bucco-dentaire impeccable, brossez les dents après chaque repas ou du moins 2 fois par jour (matin et soir).

3. Utiliser un dentifrice de qualité

La qualité du dentifrice a un effet sur l’efficacité du brossage. Privilégiez un dentifrice contenant du fluor. Pour les enfants, choisissez-en une qui est adaptée à leur âge. Notez que les dentifrices destinés aux tout-petits doivent avoir moins de fluor par rapport à ceux des adultes.

4. Penser à remplacer votre brosse à dents tous les 3 mois

Une brosse à dents usée ne peut pas être efficace pour bien nettoyer votre cavité buccale. À mesure que le temps passe, elle va constituer un nid pour les bactéries. Un brossage efficace s’obtient avec une brosse à dents en bon état. C’est pourquoi il est conseillé de la remplacer tous les 3 mois.

5. Privilégier l’eau par rapport aux jus de fruits et sodas

Le sucre ne fait pas bon ménage avec notre santé bucco-dentaire. Consommer trop de boissons sucrées peut donc nuire aux dents. Ainsi, si vous avez le choix, préférez l’eau par rapport aux boissons gazeuses et aux jus de fruits. Il est aussi recommandé d’éviter le tabac et l’alcool. Vous devez limiter au maximum la consommation de ces substances.

Le deuil d’un proche

Tous les deuils engendrent l’abattement total tant psychique que physique. Mais celui d’un parent proche et surtout d’un enfant est insupportable, inadmissible et pourrait produire un sentiment d’injustice et de culpabilité. La personne endeuillée n’arrive pas à se remettre et se culpabilise d’être en vie à la place du décédé. Si le lien entre la personne et le défunt a été très fort, ça peut virer vers un deuil pathologique.

Comment surmonter son deuil ?

Le deuil est très douloureux, c’est vrai, mais c’est aussi un mécanisme pour celui qui le subit pour se libérer de la souffrance et de sa peine. Après le choc qui est la première étape lors de l’annonce de la mort, le concerné se met à nier la réalité et n’arrive pas accepter que c’est la vérité. Et puis vient la colère car on est conscient qu’on n’est impuissant devant la situation. Le chagrin, les remords, les soupirs, les cris, etc. font surface et ne peuvent aider à faire revenir l’être cher qui a quitté ce monde. L’impossibilité de faire quelque chose pousse certains à devenir agressif. Passé ces étapes assez fortes vient la tristesse et le désespoir. L’avenir devient sombre et obscur. L’accablement est palpable devant la réalité. « Qu’est ce que je vais devenir ? Comment je ferai dans l’avenir sans cette personne qui m’était très chère ? » Puis petit à petit, la raison vient et on se résigne. On n’y peut rien. C’est la vie ! Tout le monde y est déjà passé et la vie continue. En ce moment, on accepte la perte et on arrive à regarder l’avenir. Dès qu’on accepte la perte, le rétablissement, la sérénité et la confiance en soi reviennent plus rapidement. Il faut éviter à tout prix de se replier sur soi-même. Il faut aller sortir pour rencontrer des gens de connaissance rien que pour se changer les idées. Si malgré les efforts qu’on prodigue, la douleur persiste, avoir recours à un psychologue ou adhérer à une association d’entraide pour les endeuillés est vivement conseillé pour ne pas sombrer trop longtemps dans la dépression et subir des séquelles à long terme.

Pourquoi demander l’aide d’un avocat spécialisé dans ce genre d’affaires ?

L’avocat spécialiste des affaires de traumatisme crânien s’est spécialisé en Droit du dommage corporel (ou blessure corporelle). La première raison est donc évidente : ses connaissances prodigieuses dans ce domaine de la loi. Néanmoins, préférez un avocat qui prend en charge ce type de litige depuis une bonne vingtaine, voire une trentaine, d’années. Là, vous êtes sûr que cet homme ou cette femme de loi vous défendra bec et ongle avec un raisonnement et des arguments irréfragables. Cet expert connaît les articles de loi, les différentes dispositions légales, la jurisprudence, les différentes règlementations. Il les maîtrise. Il jongle avec eux. Il sait quels sont les droits des victimes et quels sont les devoirs des présumés responsables. Il élabore une stratégie sur mesure qui vise à défendre au mieux vos intérêts face à la partie adverse. Ses capacités de persuasion sont telles que souvent il n’est pas besoin d’aller jusque devant les tribunaux pour clore l’affaire.

Ensuite, ce professionnel détermine avec exactitude le montant des compensations financières auquel vous êtes en droit de prétendre. Ce « talent » est indispensable si vous comptez demander une indemnisation. Pour justifier vos exigences financières devant le tribunal ou la partie adverse, il fait appel à un large panel d’experts en plus d’exploiter les preuves que vous lui remettez. Si vous vous défendez seul, il vous sera difficile d’approcher ces experts (qui contacter et comment les convaincre de témoigner pour vous ?). L’avocat spécialisé dans les cas de traumatismes crâniens sera aussi le meilleur interlocuteur des compagnies d’assurance. Sa connaissance des lois est, à elle seule, un moyen de pression pour forcer les compagnies à honorer leurs engagements à votre égard (par exemple : le remboursement des frais médicaux). Enfin, si les négociations ne débouchent sur aucun accord à l’amiable, l’avocat porte l’affaire en justice et il plaide votre cas devant les tribunaux. Les procédures judiciaires sont sa tasse de thé. Son intervention est précieuse si vous souhaitez que l’issue de la bataille légale soit en votre faveur.

Pourquoi ne faut-il pas avoir peur de contacter un avocat ?

Souvent, les victimes se disent qu’un avocat coûte cher. Elles sont convaincues qu’elles n’auront jamais les moyens de payer les honoraires de ce professionnel. Ce type de raisonnement se base uniquement sur des idées préconçues. Vous avez subi un traumatisme crânien par la faute d’une tierce personne ? Contactez un avocat, exposez-lui votre cas, demandez-lui son avis et renseignez-vous sur ses conditions tarifaires s’il s’occupe de votre défense. Vous serez alors fixé sur le montant que vous aurez à débourser lorsqu’il traitera votre dossier. Éloignez cette crainte injustifiée de votre esprit, car psychologiquement, vous avez besoin que la justice soit rendue. Rester passif, sans réagir, dans votre coin ne vous apportera rien, sauf du mal-être. Les dommages corporels sont alors susceptibles de se transformer en dommage moral. L’auteur de l’accident doit être traduit en justice afin que vous obteniez réparation des dommages et des préjudices que vous avez subis.

Vous êtes décidé à ne rien laisser passer. Vous portez donc plainte, mais vous choisissez d’assurer vous-même votre défense. C’est une grosse erreur. Dans une telle procédure, vous devez prouver la responsabilité de la personne physique ou morale que vous estimez être l’auteur direct ou indirect de l’accident. Ce n’est pas une démarche facile, sauf pour un avocat pour qui c’est une routine. Il sait si les preuves en votre possession sont suffisantes ou non et s’il faut en rassembler d’autres. Il sait où et comment récolter des preuves supplémentaires puis les exploiter afin de les « faire parler ». Tous les éléments probants sont présentés aux juges pour établir la responsabilité de la partie adverse. S’il n’y a pas de procédure judiciaire, ces preuves sont portées à la connaissance de l’auteur du traumatisme. L’objectif est de lui mettre la pression pour qu’il accepte vos conditions dans le cadre d’une conciliation.

D’où vient le yoga ?

Le yoga fait partie des différentes disciplines de la philosophie qui ont pris naissance en Inde. À l’origine, le yoga se basait sur les pratiques sutras de Patanjali, les Upanishads ou sur la Bhagavad-Gita. Les Occidentaux le perçoivent uniquement comme une simple activité physique. Mais il faut reconnaître qu’il représente bien plus que cela. Le yoga est un style de vie. Il s’agit d’une pratique qui se focalise sur la relaxation, la méditation, pour accéder à une sorte de libération. En d’autres termes, c’est une recherche particulière pour trouver un équilibre vital entre le corps et l’esprit.
Le yoga est important, car il permet de considérer l’homme dans sa globalité afin de pouvoir activer son énergie vitale. On peut alors parler de chakras qui consistent à améliorer la santé physique ainsi que mentale.

Quels sont les bienfaits du yoga ?

En plus d’apporter du bien à votre esprit, le yoga en apporte également à votre corps. En effet, le yoga peut vous procurer des effets bénéfiques, que ce soit sur vos muscles, votre dos, votre cœur. Il est également idéal pour soigner les différentes douleurs que renferme votre corps. Il peut également avoir des bienfaits psychologiques. Le yoga peut vous apporter de l’aide dans la connaissance de soi, l’équilibre de l’état de votre esprit. Il peut vous aider à savoir lâcher prise quand il le faut.
Le yoga peut également vous aider à obtenir ou à accroître la confiance en soi. Car l’absence de confiance en soi peut être un grand obstacle dans la vie. Le yoga vous apporte la paix dans votre esprit et le courage qui vous manque pour franchir les étapes de votre vie. C’est en essayant de franchir ces étapes que vous avez la possibilité de mieux avoir confiance en vous.

À qui s’adresse le yoga ?

Il faut savoir que le yoga est une activité qui est ouverte à tous ceux qui en ont besoin. Au lieu de repousser, il invite ceux qui en ont réellement besoin dans leur vie. Si vous êtes généralement tendu et que vous voulez apporter de la souplesse dans votre vie, le yoga vous sera d’une grande aide. Le yoga peut, ainsi, s’adresser autant aux hommes qu’aux femmes, aux jeunes et aux enfants. Il peut même être pratiqué par les femmes enceintes et les personnes âgées.

Déterminer l’origine du mal-être pour trouver des solutions pertinentes

En général, une situation particulière engendre le stress. Il peut s’agir d’une importante augmentation du volume de travail, d’un niveau de difficulté assez élevé, etc. À part cela, le stress peut se déclencher après une mésentente entre vous et votre employeur ou vos collègues.
Vous aurez du mal à lutter contre ce stress tant que vous continuerez à travailler dans ces conditions. De ce fait, vous devez faire une analyse de situation, car elle vous permet d’identifier l’origine de votre mal-être. Si vous constatez qu’il vient de votre supérieur hiérarchique ou de votre employeur, soyez courageux pour exiger un entretien individuel. Cela vous permettra d’exposer votre problème et de trouver la meilleure solution. Si vous vous retrouvez dans une situation sans issue, le mieux est de quitter votre poste. En fait, le corps émet un signal d’alerte à l’aide du stress. Si vos dirigeants continuent de vous mettre de fortes pressions, vous tomberez certainement dans une spirale infernale : stress, manque de motivation, dépression, etc.

Se libérer de la pression

La majeure partie des travailleurs ont peur d’échouer dans leur parcours professionnel. Voilà pourquoi, ils tendent à trop s’investir au travail sans se rendre compte que cette situation engendre le stress et l’angoisse. Pour éviter ce genre de problème, vous devez toujours rester positif et mettre en perspective ce qui est important. Il est aussi indispensable de prendre un peu de recul pour bien analyser la situation et de trouver une stratégie efficace pour réussir votre parcours. Si vous arrivez à vous libérer de cette pression, vous serez un salarié beaucoup plus épanoui. En fait, vous n’êtes pas le seul à avoir connu l’échec. Les célèbres entrepreneurs comme Bill Gates, Henry Ford, Akio Morita, etc. l’ont déjà essuyé. Mais ces personnalités n’ont jamais cessé de trouver des solutions pour réussir dans leur vie professionnelle. Pour remonter votre moral, regardez des vidéos qui démontrent leur parcours, lisez leurs biographies.

Bien organiser son temps

Pour que votre journée soit pleine de joie et de bonheur, vous devez bien organiser votre planning. Cela permet de réduire en grande partie le stress. De ce fait, vous devez mettre en pratique des techniques de gestion de temps comme la technique Pomodoro. Elle consiste à réaliser une tâche dans un délai de 25 minutes. Une fois le délai expiré, vous profitez d’une pause de 5 minutes. Passé ce délai, l’exécution des tâches continue. Sachez qu’une bonne gestion de temps permet aux employés de passer des moments forts avec leur famille. C’est donc une solution très efficace antistress.

Adopter une bonne alimentation

Il existe actuellement des médicaments qui permettent de lutter contre le stress. Mais il n’y a rien de mieux que manger de la bonne nourriture. En fait, la plupart des aliments contiennent des molécules qui participent à la diminution du niveau d’anxiété. Vous pouvez par exemple manger des bananes et du chocolat. Ces aliments sont connus pour leur pouvoir antistress.
Personne ne peut échapper au stress, notamment dans la vie professionnelle. Dans le cas où vous n’arriveriez pas à le gérer, suivez des formations en gestion de stress. Inscrivez-vous donc sur le site https://stress.app/blog/fr/comment-lutter/.

Quel type de maladie soigne une guérisseuse ?

Aussi baptisée guérisseuse magnétiseuse, une guérisseuse utilise différentes techniques pour traiter ses patients. Généralement, c’est avec l imposition des mains sur les zones a traiter que les guerisseurs/guérisseuses soignent leurs patients. Les massages permettent d’éliminer les énergies bloquantes et d’octroyer une dynamique à la partie affectée. Une guérisseuse peut traiter divers problèmes de santé, comme les douleurs articulaires, les migraines, le mal de dos, les insomnies, les problèmes de peau, les douleurs musculaires et l’acné tardive. Elle peut également aider les personnes souffrant de dépression, d’infertilité ou de problèmes physiques rattachés au psychique. Une guérisseuse peut aussi traiter les problèmes d’addiction, les maladies des mains et des pieds. Enfin, une guérisseuse peut soigner aussi bien les Hommes que les animaux et peut réaliser des soins à distance, selon vos besoins.

Est-ce que les soins donnés par une guérisseuse sont vraiment efficaces ?

A la simple mention des mots »guérisseur »guérisseuse », certaines personnes sont très réticentes à croire à l’efficacité du traitement. Pourtant, il s’agit d’un professionnel capable d’aider et de soigner les gens dans la.globalite de leurs problèmes de santé grâce à un don naturel qu’il a obtenu de ses lignées familiales et à son ouverture spirituelle. Certaines maladies que les médecins classiques ne parviennent pas à guérir peuvent être traitées auprès d’une guérisseuse. De nos jours, pour trouver une guérisseuse, vous devez vous fier au bouche-à-oreille ou consulter les annuaires dédiés aux médecines alternatives en ligne. Vous pouvez aussi vous rendre directement sur https://alicemarchand.squarespace.com/guerisseuse-magnetiseuse-medium pour trouver une guérisseuse professionnelle capable de vous aider dans divers problèmes.

Commencer avec un taux de nicotine élevé

La cigarette électronique a été inventée dans le but d’aider à se passer de la cigarette. La méthode consiste à apporter une certaine dose de nicotine à travers une vapeur faite de propylène glycol et de glycérine végétale. Il faut choisir un dosage en fonction des habitudes en tant que fumeur. Une personne ayant consommé l’équivalent d’un demi-paquet de cigarettes light devrait adopter un e-liquide de 9 à 12 mg/ml.

Diminuer la dose avec tact

S’il est relativement aisé de trouver la dose de nicotine, déterminer le bon moment pour la faire baisser reste tout un casse-tête. En effet, la diminution du taux peut entraîner certains troubles. Les spécialistes proposent une astuce. Elle consiste à vapoter sur deux e-cigarettes de 9 mg/ml et de 12 mg/ml. Au bout d’un moment, il faut arrêter le modèle plus riche en nicotine. Une autre approche revient à doser soi-même le produit et baisser de 0,5 mg/ml avec un intervalle régulier.

Ne jamais chercher à faire un miracle

L’abandon de la cigarette est très difficile. Il ne faut pas croire qu’en optant pour la version électronique, la dépendance disparaît du jour au lendemain. Au contraire, il va falloir prendre une consommation mixte cigarette/e-cig dans un premier temps. Après un moment, vous devez abandonner les tiges au profit de l’e-liquide. La baisse de la nicotine se fera lentement, mais surement. Les désagréments vont être nombreux, mais c’est le prix à payer pour se passer d’une mauvaise habitude. Après s’être sevré de la nicotine, il faut limiter le vapotage.

Faire une sieste au bon moment

Même si on ressent une grande vague de fatigue nous envahir pendant la journée, les siestes ne sont pas à prendre n’importe comment. Afin qu’elles soient le plus bénéfiques possible, il est conseillé de suivre quelques règles de base. Le meilleur moment pour prendre une sieste est de compter 12 heures à partir du milieu de la période de sommeil nocturne.
En pratique, cela se situerait entre 13 heures et 15 heures de l’après-midi. Cependant il est essentiel que cela n’ait aucun impact sur le sommeil en pleine nuit. Il est donc déconseillé de faire des siestes une fois le soir tombé. Cela va juste apporter du retard sur l’heure du coucher et dérégler l’horloge biologique. Il faut toujours retenir que les siestes sont un bon moyen pour reprendre des forces afin de mieux entreprendre ses activités quotidiennes.

Transformer une sieste en rituel

Parfois, il est difficile de s’endormir en plein milieu de la journée même si le corps réclame du repos. Pourtant une sieste se révèle vraiment indispensable pour mieux attaquer le reste de la journée. Heureusement, il existe un moyen pour s’habituer à prendre une sieste, et c’est en la transformant en rituel.
Pour ça, on choisit un endroit fixe pour se reposer et on fait en sorte que l’ambiance de la pièce soit propice au sommeil. Ces gestes seront à répéter tous les jours afin de transformer la sieste en une habitude quotidienne que le corps va réclamer.

La luminothérapie par la lumière bleue contre un placebo à la lumière orange

Cette recherche conduite par des chercheurs de la faculté de médecine de l’Université de l’Arizona à Tucson, fait partie d’une étude plus large qui examine les effets de la thérapie par la lumière bleue comme moyen d’aider les patients à se remettre plus rapidement de leurs commotions. En moyenne, 50 % des patients qui ont souffert d’une commotion cérébrale ont des problèmes de sommeil chronique qui compliquent la convalescence.
La petite étude a porté sur 35 personnes d’une moyenne d’âge de 26 ans chez qui une commotion cérébrale avait été diagnostiquée au cours des 18 derniers mois. La moitié des participants a subi des séances de luminothérapie par la lumière bleue pendant 30 minutes, chaque matin, pendant six semaines, tandis que l’autre moitié a reçu un placebo de thérapie à la lumière orange.
Au début et à la fin de l’étude, les deux groupes ont passé des tests pour mesurer les symptômes de la dépression selon la technique du« Beck Depression Inventory ». D’autres symptômes courants de commotion cérébrale, notamment les maux de tête, la fatigue et les problèmes de sommeil, de mémoire et de concentration, ont également été évalués.
Les chercheurs ont constaté que les personnes qui ont reçu une luminothérapie à la lumière bleue ont connu une amélioration significative sur l’échelle de la dépression (+ 22%) contre une aggravation des symptômes chez le groupe « Placebo » (- 4%). Des améliorations des troubles du sommeil, de la fatigue, de la concentration, de l’agitation et de l’irritabilité dans le groupe traité à la lumière bleue ont également été enregistrées.

La luminothérapie pour « redémarrer » le rythme circadien

Les chercheurs estiment que la lumière bleue a modifié les rythmes circadiens et qu’elle a aidé les patients à être moins somnolents pendant la journée. Ils ont également observé des zones du cerveau qui semblaient s’hypertrophier pendant les séances, améliorant la connectivité et la circulation du flux nerveux. Il est prouvé que pendant le sommeil, l’organisme élimine de nombreuses neurotoxines qui s’accumulent dans le cerveau, pouvant causer certains dommages.
Le sommeil contribue également au développement d’un type de cellule cérébrale qui isole les neurones pour les protéger. Ces cellules se développent davantage lorsque le sommeil est sain, suffisant et réparateur. La commotion cérébrale est le résultat d’un coup, d’une secousse ou d’un traumatisme au niveau de la tête qui interrompt le fonctionnement normal du cerveau. Un traumatisme crânien léger est défini comme un changement d’état mental ou de conscience de courte durée, de moins de 30 minutes.
Le syndrome post-commotionnel (SPC) peut se manifester aussi bien dans les lésions cérébrales bénignes que dans les lésions graves. Un diagnostic de SCP peut être établi lorsque les symptômes durent plus de deux semaines après la blessure initiale.Les symptômes du syndrome post-commotionnel sont les maux de tête, les vertiges, la fatigue, l’irritabilité, des difficultés de concentration et d’exécution de tâches mentales, une altération de la mémoire, l’insomnie, etc.

La luminothérapie pour améliorer la qualité de vie des patients « bien portants »

La thérapie par la lumière est également toute indiquée pour les personnes qui souffrent du fameux coup de blues hivernal, un état de déprime qui devient courant lorsque les jours raccourcissent, à cause notamment de dérèglements hormonaux en lien avec le manque des rayons du soleil qui pénètrent au niveau de la rétine. Ces dérèglements provoquent une certaine déprime, mais aussi et surtout des troubles du sommeil, avec une tendance à l’insomnie ou au contraire à l’hypersomnie ou somnolence diurne.
Pour y remédier, à fortiori si vous vivez dans des régions où le soleil se fait particulièrement rare pendant l’hiver, vous pouvez vous équiper d’une lampe de luminothérapie simulant le spectre lumineux du soleil. Pour faire votre choix, vous pouvez consulter ce comparatif des lampes de luminothérapie !

Pourquoi se tourner vers la médecine alternative ?

De plus en plus de personnes, et de plus en plus de Français se tournent vers la médecine alternative. Ce formidable essor s’explique par le fait que la médecine alternative est plus humaine, plus douce, et aide à mieux connaître et comprendre son corps. La médecine alternative n’agit pas seulement sur les maladies et leurs symptômes, elle s’attache également à nous apprendre à mieux vivre, à changer d’hygiène de vie et d’alimentation, au besoin. Si vous aussi, vous aimeriez vous tourner vers la médecine alternative alors que vous suivez un traitement classique, informez votre médecin traitant. Les deux peuvent très bien aller de pair.

Ce que privilégie la médecine alternative

La médecine alternative privilégie surtout la prévention des maladies et le maintien de la santé. Le site https://www.guerir.pro/ explique qu’en médecine alternative, pour être en bonne santé, il est essentiel de maintenir l’équilibre entre les systèmes du corps, c’est-à-dire le système physique, émotionnel, mental et même spirituel. Donc, en cas de maladies, cela veut dire que cet équilibre a été bouleversé et perdu, et la médecine alternative agit pour le rétablir. L’objectif de la médecine alternative est de stimuler et de renforcer les défenses naturelles du corps pour que celui-ci guérisse de lui-même. La médecine alternative n’utilise que des solutions naturelles pour solidifier et développer la résistance naturelle de l’organisme.

L’homéopathie pour soulager vite et efficacement les douleurs

Qui d’entre nous ne ressent pas des douleurs musculaires quelque part sur notre corps après une journée de travail bien harassante ? Dans ce genre de cas, la médecine alternative peut être d’une grande aide, en particulier les remèdes homéopathiques. Ceux-ci peuvent atténuer ces douleurs efficacement et parfois, parviennent à les éliminer. Si vous souffrez au niveau de vos vertèbres, l’homéopathie peut apaiser grandement vos souffrances. Prendre des médicaments classiques jour après jour risque, à la longue, de vous créer d’autres soucis de santé, en raison de leurs effets secondaires, alors que les remèdes naturels, homéopathiques, n’ont aucun effet secondaire. Naturellement, vous devez suivre scrupuleusement les prescriptions de votre médecin et ne pas faire d’automédication. Ce qui a marché sur votre époux ou sur votre amie ne l’est pas automatiquement sur vous, car le praticien vous prescrira les doses adaptées à l’intensité de vos douleurs et la période durant laquelle les prendre.